dimanche 22 janvier 2012

Elles m'enervent trop toute celles-là, qui ont peur de tout et même de n'importe quoi. Ils m'énervent bien tout ceux-là, qui n'ont besoin de rien à part de liberté. Peur de la possibilité, peur de l'audace, du courage, peur de la vie, au final, peur de trop ressentir.

 
Se balancer dans tout les sens, sauter et hurler, hurler plus fort que les autres, essayer de crier juste le plus fort possible. Se laisser pénétrer toute entiére par tout ces sentiments de peur, de vide, de regard, de passé. Laisser tout ça entrer en moi et me posséder, bouger au rythme de ces sentiments de cette voix, de ces yeux. Serrer sa main. L'aimer. Regarder les deux yeux bleus immobile derriére moi. Repartir ailleurs. Fermer les yeux, tourner sur moi même, se prendre des coups, applaudir en rythme, lever le poing, lever la tête, lever les bras. Les regarder. Le regarder. Trop longtemps, le chercher, se chercher, chercher quelque chose, se sentir, partir, au bord des larmes, de l'explosion, ne plus être en soit, souffrir, souffrir à en vomir, à en pleurer. De ce bordel. De ce garçon. De tout ces garçons qui n'en valent pas la peine. De toute cette haine, de toute cette indifférence. Pleurer en hurlant. Pleurer en souriant et en éclatant de rire. Un sourire franc. Qui n'a rien d'amer ou de faux. Un sourire sans arriére gout, un vrai sourire, un qui pleure, de tristesse cette fois là. Des regards. Je cherche juste ton regard. Et je peux être en face de toi, tu ne me le donneras pas. Peut-être parce que tu souffres? Mais tant mieux bordel de merde tant mieux! Créve! Souffre au moins autant que tu es idiot! Souffre comme ton sourire fait pleurer le mien! Souffre comme tu nous as fait souffrir. C'est tellement la faute de personne, notre souffrance. Notre douleur. Non, tu n'as fais que tourner et tourner le couteau dans la plaie. Maintenant, ça saigne de partout, et sur ses joues, il y a du sang séché, il y a une porte fermée. Un bras qu'on tend quand on espérais mieux. J'aimerais être cette fille là, qui n'a pas besoin qu'on s'occuppe d'elle, je te jure que j'aimerais. Cette putain d'envie de gerber les sentiments, gerber la vie, gerber le coeur. En faire de la bouillie. Au final, qui sait?

JE SAIS PAS.

Ce texte, me fait gerber.



J'ai arrêter de savoir.

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